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Duo d’artistes, Française et Franco-Luxembourgeois, né·es en 1984 & 1982, vivent et travaillent à Paris.

Émilie Brout & Maxime Marion ont commencé leur collaboration à l’École Nationale Supérieure des Arts Décoratifs de Paris. Leur travail a intégré des collections telles que les FRAC Ile-de-France ou la fondation François Schneider, et a notamment été diffusé au Palais de Tokyo, à la Gaîté Lyrique, au BANFF Centre for Arts and Creativity et à l’auditorium du Louvre.

Il a également été présenté lors de la Triennale de la jeune création du Casino Luxembourg (2021), la 5th Moscow Biennale for Young Art (2016) et de nombreuses expositions collectives, dont au BPS22, Bruxelles ; Villa Arson, Nice (2022) : Supercollider, Los Angeles ; Granit - Scène Nationale de Belfort (2021) ; Haus der Kulturen der Welt, Berlin ; Centre Culturel Canadien, Paris ; Centre d’art contemporain de Malakoff (2020) ; Prix Sciences Po pour l’art contemporain, Paris ; MAC VAL, Vitry-sur-Seine (2019) ; Redline Contemporary Art Center, Denver ; Maison Populaire de Montreuil (2018) ; Le Loft - Collection famille Servais, Bruxelles (2017) ; OCAT Shenzhen ; IAC Villeurbanne ; Carroll/Fletcher, Londres (2016) ; MAC Créteil ; Seongnam Art Center (2015).

Iels ont bénéficié d’expositions personnelles notamment à 22,48 m², Paris (2013, 2015, 2017, 2019, 2021) ; La Chaufferie, HEAR, Strasbourg ; Pori Art Museum (2019) ; Villa du Parc, Annemasse (2018) ; Steve Turner, Los Angeles (2017).

La démarche développée par Émilie Brout & Maxime Marion depuis une dizaine d’années s’articule largement autour de liens et de rencontres opérées entre archétypes issus de l’histoire de l’art (de la Pré-Renaissance au cinéma) et de la culture visuelle contemporaine – notamment celle du web. Cette pratique s’appuie sur un travail approfondi de recherche et d’iconographie venant nourrir des pièces à la fois critiques et émotionnelles, qui intègrent dans leurs modalités de production mêmes les spécificités économiques, politiques et sociales induites par les différents registres esthétiques qu’elles convoquent. Iels visent à inscrire de l’incarnation dans leurs champs d’intervention, et ce le plus souvent au moyen d’approches narratives ouvertes, non linéaires et non héroïques. Avec la vidéo comme médium de prédilection, iels cherchent à repousser les limites des formats que nous manipulons, voire à en inventer de nouveaux. Leurs pièces comportent ainsi souvent une dimension hybride, ambigüe, tant au niveau de leur contenu que de leur matérialité ou de leurs multiples contextes de réception : une mise en crise de l’image, provoquant une sensible dissonance entre puissance narrative et dévoilement perceptible des mécanismes de production en jeu.

VIDEOS

(sélection)

Lightning Ride, 2017, vidéo, 7’40’’

Google Earth Movies, 2013, vidéo HD, 23’40’’

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