2018, casques, boîtiers, objets, dimensions variables
2018, casques, boîtiers, objets, dimensions variables
2018, casques, boîtiers, objets, dimensions variables
2018, casques, boîtiers, objets, dimensions variables
2018, casques, boîtiers, objets, dimensions variables
Art Rotterdam 2019
2018, scotch, 16 x 21 cm
2018 canapé en tissu, mousse, réalisation: Sarah Kalvar, 180 x 56 cm, 85 x 56 cm + mouche en scotch, 16 x 21 cm
2018, "Dînette", Galerie 22,48 m², Paris, France
2018, "Dînette", Galerie 22,48 m², Paris, France
2018, pâte polymère, argent, 2,5 x 2,5 cm et 12 x 2 cm
2015, Tissu polyester découpé, 150 x 60 cm
2018, toile, fils de cuivre, amplificateurs, aimants, pâte polymère, 80 x 80 cm
2018, boîte à pizza, fils de cuivre, amplificateurs, aimants, pâte polymère, 31 x 31 cm
2018, trophée en métal, fils de cuivre, amplificateurs, aimants, pâte polymère, 10 x 10 x 40 cm
2018, ensemble d’objets en pâte polymère, dimensions variables
2018, ensemble d’objets en pâte polymère, dimensions variables
2018, pâte polymère, dimensions variables
2019, pâte polymère, dimensions variables
2018, pâte polymère, 27 x 5 x 3 cm
Art Rotterdam 2019
2018, pâte polymère, dimensions variables
2018, pâte polymère, dimensions variables
2018, bois, 246 x 17 cm
2018, pâte polymère, 7,5 x 2 x 4 cm
2018, pâte polymère, 11,5 x 17,5 cm
2018, pâte polymère, 7,5 x 2 x 4 cm
2018, pâte polymère, 11 x 12,5 cm
2018, vidéo, muet, sous-titres, 12'
2017, objets divers, pâte fimo, fils de cuivre, amplificateurs, aimants, dimensions variables
2017, objets divers, pâte fimo, fils de cuivre, amplificateurs, aimants, dimensions variables
2017, objets divers, pâte fimo, fils de cuivre, amplificateurs, aimants, dimensions variables
2015, mèches de cheveux, faux plafond, 50 x 50 x 30 cm
2014, vidéo, techniques mixtes, 3’12“
2016, matériaux divers, casques, système sonore, dimensions variables
2014, vidéo, actions, techniques mixtes, 6’48’’
S’ils se sont d’abord fait connaître par leurs sautillants concerts électro-punks, s’ils forment à eux quatre, entourés de leurs amis, une sympathique tribu, Salut c’est cool doit surtout être considéré aujourd’hui comme un collectif artistique, qui évolue entre l’art du gros son, les voix fluettes de la poésie et le bricolage vidéo-numérique. Sous des allures désinvoltes, amateuristes voire même décérébrées tant ils cultivent volontiers les figures de l’idiotie, Salut c’est cool mène à l’évidence une expérimentation poussée d’un art qui néglige le système de l’art contemporain, qui ignore les frontières du haut culturel et du bas populaire, du réel et du virtuel, de l’art et la vie pour reprendre le grand thème des avant-gardes artistiques du XXe siècle dont ils sont un prolongement à l’âge du post-internet et de You Tube. Vantant « leur liberté jouissive et déconcertante », Stéphane Delorme écrit dans les Cahiers du Cinéma que « le seul genre dans lequel opère salut c’est cool, c’est peut-être l’hymne : hymne au monde, à la nature, aux objets, aux formes, aux gens, à tout».
Jean Max Colard
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